1er rapport

Notre première étude concerne les messages nerveux.

Le message nerveux est codé en fréquence de potentiels d'action (Pa). On remarque que le nombre de potentiels d'action varie en fonction de l'intensité: plus l'information à transmettre est intense, plus la fréquence de potentiels d'action sera importante. C'est-à-dire que l'information transmise sera toujours de même intensité (en ampères) mais plus fréquemment diffusé dans un même temps donné (souvent 1ms). Le message nerveux est aussi codé dans le temps : si on prolonge une stimulation électrique qui crée au départ un seul potentiel d'action, on constate au bout d'un certain temps qu'un second s'est formé.

 

Nous nous sommes penchés sur la propagation de ces messages à travers diverses expériences (dont les principes vous sont décrits dans le lien suivant):

http://mcdubysvt.free.fr/DAEU/SN%20chap2-message%20nerveux.pdf

 

Les schémas d'arcs réflexes montrent qu'à certains moments les messages nerveux doivent passer des synapses (zone de contact reliant deux neurones). L’arc réflexe est constitué par un réseau de neurones connectés au niveau de synapses. Certaines de ces synapses sont dites à transmission directe : c’est-à-dire qu'aucune fente ne vient entraver la propagation du message nerveux. Alors que d'autres au contraire (dites à transmission indirecte) gènent la propagation du message nerveux par une fente. Ces différences de propagation nous montre ainsi où et comment nous aurions intérer à placer un capteur afin de réaliser la première étape de notre lecteur: intercepter le message nerveux avant sa lecture.